Le growth hacking (ou piratage de croissance en français) se concentre sur le développement de croissance des entreprises présentes sur le web. En fait, il s’agit de regrouper tous les acteurs du web pour maximiser la croissance, on cherche donc à tracker et même à la pirater”. En termes Marketing Automation, le Growth Hacking c’est donc le fait de générer le maximum de trafic sur un site web dans l’optique de convertir pour une croissance accélérée.
Le Growth hacking pour une croissance rapide
Un des exemples de Growth hacker les plus connus, c’est Hotmail. Si à son lancement le webmail faisait face à une faible croissance, il a suffit d’une idée basée sur le traditionnel bouche à oreille pour permettre au site d’être utilisé par des millions d’utilisateurs. En effet, 80% des inscriptions proviennent de recommandations, ce qui fait écho chez Hotmail avec une croissance qui s’en suit. En bref, le growth hacking n’a qu’un seul objectif : la croissance en coordonnant de façon optimale l’ensemble des techniques webmarketing. Ce modèle de croissance rapide est particulièrement apprécié par les start-ups, ce qui fut le cas notamment de Facebook, Twitter ou encore Groupon.
Générer du trafic
Quoi de mieux pour une croissance rapide que d’attirer un maximum de visiteurs ? En répertoriant ses offres sur plusieurs plateformes ou sites, l’entreprise maximise ses chances d’avoir un trafic optimisé. L’objectif est donc de maximiser les visites du site, ce qui est rendu possible par 5 étapes clés.
Les étapes du Growth hacking
La première étape, c’est l’acquisition, rendue possible grâce au SEO ou encore aux campagnes emailing… C’est l’étape nécessaire pour attirer les visiteurs. Ensuite, le growth hacker va chercher à “activer” son visiteur, c’est à dire le faire agir (création de compte, inscription à une newsletter…). L’étape 3 de “rétention” consiste à faire revenir le visiteur, il s’agit de marketing inbound à amener le client à revenir de lui même et à agir: cette méthode propre au Growth Hacking diffère avec la stratégie Marketing Automation selon laquelle on revient vers le prospect pour faire maturer la relation. La quatrième étape, le “referral”, requiert de faire appel à son visiteur comme ambassadeur (ce qui fut exactement le cas pour Hotmail). Un exemple parlant, c’est par exemple le parrainage chez Vente Privée, le membre devient ambassadeur. La dernière étape dans la tête d’un growth hacker c’est le “revenue”, c’est à dire la facturation du visiteur pour son utilisation du service.
En résumé, le growth hacking suit une méthodologie bien précise qui nécessite d’étudier chacune des étapes pour être optimisé. La méthode clé: attirer le maximum de visiteurs et générer le plus de trafic que possible avant de chercher à vendre.
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